Le Costa Rica fait partie de ces pays dont l’histoire est difficilement traçable avant la période des grandes explorations. En 1502, Christophe Colomb (eh oui encore lui !) découvre cette terre d’une beauté étourdissante. Pensant tomber sur une mine d’or à proprement parler, il la nomme modestement « Costa Rica », la côte riche.
Comme le veut la tradition de l’époque, dès lors qu’un explorateur découvre une terre, c’est à son royaume qu’elle est accordée. Et c’est donc durant 3 siècles d’affilés que « La Capitainerie du Guatemala pour le compte de l’Espagne » (ouf, reprenez votre souffle !) s’impose durablement.
Il n’y a pas d’or ? Qu’importe ! Les européens ont plus d’un tour dans leur sac. En plus de décimer une partie de la population indigènes avec les maladies qu’ils importent (grippe, tuberculose, etc.), ils s’emparent du territoire en développant une économie prospère basée sur la culture du café et de la banane.
Cette souveraineté prend fin en 1821, date à laquelle le Costa Rica proclame son indépendance, sans frasque ni conflit. D’années en années, le pays se modernise, en abolissant d’abord l’esclavage en 1824 et en instaurant ensuite un régime démocratique dès 1848.
Aujourd’hui, le Costa Rica continue son ascension vers la modernité en nommant à sa tête une femme, Laura Chinchilla Miranda. Respect les Ticos !
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